Une sixième saveur ?

Une sixième saveur ?

On connaissait les saveurs acides, sucrées, amères et salées. On savait moins qu’il en existait une cinquième mise en avant dans les années 80 : la saveur umami. Mais aux dires d’une nouvelle étude, il y en aurait une sixième.

Le gras comme saveur ?

Le gras serait un sixième goût selon deux chercheurs de l’Université de Washington qui ont découvert des détecteurs chimiques propre à la détection du gras !

Ces détecteurs sont sur notre langue et aussi dans notre nez. Apparemment, selon cette étude, nous ne serions pas égaux en termes de ces détecteurs. Tout le monde n’aurait pas la même faculté à détecter le gras, tant à l’odorat qu’au goût !

Moins on en mange plus on le perçoit !

Oui, cela se tient. C’est même valable pour beaucoup de choses, comme notamment le sel ou le sucre. Concernant le gras en particulier, l’étude a pu montrer que les personnes qui sont habituées à en consommer ont une moindre capacité à le détecter dans leur alimentation car ils possèdent moins de détecteurs que les autres.

Selon psychomedia.ca « Une étude, publiée en 2010 montrait aussi que le gras pourrait constituer une sixième saveur. Les personnes qui avaient une grande sensibilité à ce goût consommaient moins d’aliments riches en gras et avaient un indice de masse corporelle moins élevé. »

C’est certainement exact. Qu’en pensez-vous ?

8 Comments on “Une sixième saveur ?

  1. Je confirme, le gras est indispensable au fonctionnement de notre corps et de notre petite tête !!

    Niveau gout, ça apporte beaucoup, et, additionné d’épices bien choisit, il peuvent éviter de stocker. C’est mon secret ça. Utiliser les graisses pour ne pas stocker les graisses … 🙂 Et c’est vrai .

  2. En réalité, épicer ses plats peut s’avérer très judicieux pour sentir plus vite la sensation de satiété :

    -La piperine contenue dans le poivre noir calme l’appétit. Attention, quelqu’un qui a besoin de manger aura tout de même faim. Celui qui se sera suffisemment servi ne sera pas tenté.

    Cela marche aussi avec le Chili, et le piment de cayenne.

    Ensuite, il faudrait utiliser toujours de la crème fraiche épaisse pour cuisiner ses viandes car le calcium et les matières grasse de la crème décode les matières grasses des viandes, qui ont tendance à être stockées par le corps. La crème permet  »de digérer » ces graisses, et d’éliminer le superflus, le corps ne prendra que le meilleur.

    J’ai fait un repas basé sur ces théories de chercheurs allemands chez un ami qui élève des agneaux, il est suisse, et s’intéresse de près à tout ça. Ce repas avait l’air gargantuesque, et pourtant, grâce à la magie des épices et des crèmes + beurre, je vous assure que j’en suis sortie tout juste calée, pile ce qu’il faut, sans être « lourde »

    -jambon d’agneau : apéritif
    -premier plat : filet de chevreuil grillé + pommes et mandarines cuites et revenues au beurre et piments variés + champignons revenus au beurre et vin blanc
    -deuxième plat : filet d’agneau et brebis + brocolis cuits au beurre et roquefort fondu + une cuillère à soupe de crème fraiche assaisonnée de poivre noir, menthe et ciboulette.
    -suite : pâtes à la bolognaise d’agneau + parmesan
    -fromage de brebis et pain
    -sorbet de framboise maison (avec crème épaisse)

    Les portions étaient plutôt petites, mais bon ! C’est un exemple pour dire que les matières grasses sont essentielles au bon fonctionnement humain et c’est en les fuyant que l’on finit par les stocker.

    Et fuir les matières grasses, c’est fuir la vie 🙂

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